Au Moyen Âge, il y avait de nombreuses méthodes de divination qui étaient utilisées pour prédire l’avenir ou pour interpréter des événements passés ou présents. Voici quelques-unes des méthodes les plus courantes :
- La chiromancie : cette méthode consistait à lire les lignes et les marques sur les paumes des mains pour prédire l’avenir. Les différentes formes de lignes et de marques étaient interprétées comme étant liées à des traits de caractère, des événements futurs, ou des influences astrologiques.
- L’astrologie : cette pratique consistait à utiliser les mouvements des étoiles et des planètes pour prédire les événements futurs. Les astrologues établissaient des cartes du ciel et les interprétaient pour déterminer les influences planétaires sur la vie des individus.
- La lecture de tarot : cette méthode impliquait l’utilisation d’un jeu de cartes de tarot, qui comportait des images symboliques et des nombres. Les cartes étaient disposées dans des motifs spécifiques et interprétées pour prédire l’avenir ou pour donner des conseils sur des questions de vie importantes.
- La scapulomancie : cette méthode était basée sur l’observation des fissures et des brûlures sur les omoplates des animaux sacrifiés. Les fissures et les marques étaient interprétées comme des signes divins qui pouvaient prédire l’avenir ou donner des conseils.
- La cristallomancie : cette méthode impliquait l’utilisation d’une boule de cristal pour prédire l’avenir. L’observateur regardait dans la boule de cristal et interprétait les images qui y étaient reflétées.
- La pyromancie : cette méthode consistait à examiner les flammes et les cendres d’un feu pour prédire l’avenir. Les formes et les couleurs des flammes et des cendres étaient interprétées comme des signes divins.
Ces méthodes de divination étaient très populaires au Moyen Âge et étaient souvent pratiquées par des sorcières, des voyants et des prêtres. Bien que certaines personnes aient pris ces méthodes très au sérieux, d’autres les considéraient simplement comme des divertissements.
